De vagues souvenirs, trop vagues pour dire que j'en ai autant profité. Mais c'était BON. Tellement bon de voir ces gens que j'aime tant réunis ensemble, de plus chez moi. Les sourires, la musique, les embrassades, les accolades, cette joie en bouteille, partagée et finalement plus vraie que nature. Enfin pouvoir baisser les bras et lâcher tout ce qui me pesait sur le dos, se laisser aller, insouciante, inconsciente, rire pour un rien, danser, boire, fumer un peu aussi, profiter à fond de ces personnes-là. Trop de mots pour rien, impossible que ceux-ci soient assez minutieux, assez justes pour décrire le Bonheur d'hier & le sentiment d'abandon et la morosité d'aujourd'hui. Les lendemains sont invivables, je suis encore Hier et j'aime cela, beaucoup trop.
Le lendemain de la Nostalgie souriante et du regret aussi. Terrible peur d'en avoir trop dis, trop fait ou de ne pas avoir justement profité du fait d'avoir enfin une excuse pour cracher toutes ces choses qui m'empêchent de respirer. Je ne joue pas la comédie, je ne sais pas, je ne me souviens plus. J'espère être excusée et quelque peu comprise aussi.
We used to say that we were brother and sister / We used to think nothing was every bitter [...] We used to play all the games where no one's the winner / Today I break my promises.
C'est surtout cette pitoyable excuse du Nouvel An pour avoir fait ça, minable.
Le lendemain de la Nostalgie souriante et du regret aussi. Terrible peur d'en avoir trop dis, trop fait ou de ne pas avoir justement profité du fait d'avoir enfin une excuse pour cracher toutes ces choses qui m'empêchent de respirer. Je ne joue pas la comédie, je ne sais pas, je ne me souviens plus. J'espère être excusée et quelque peu comprise aussi.
We used to say that we were brother and sister / We used to think nothing was every bitter [...] We used to play all the games where no one's the winner / Today I break my promises.
C'est surtout cette pitoyable excuse du Nouvel An pour avoir fait ça, minable.
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